Moh Débutant
Nombre de messages : 201 Localisation : Devant Mon PC Emploi : commercial Loisirs : Le Net,La BD,ext... Date d'inscription : 07/04/2007
| Sujet: « Les barques de la mort » étaient financées par l’argent de Jeu 26 Avr - 15:30 | |
| Les services de la Gendarmerie nationale de Annaba ont entrepris une enquête sur des individus qui vendaient « les barques de la mort » aux jeunes qui tentaient de rejoindre l’autre rive de la Méditerranée. Des sources sécuritaires bien informées ont indiqué à El Khabar que l’enquête préliminaire effectuée par les services de la gendarmerie à Annaba, a révélé l’implication d’un groupe de bénéficiaires des projets de l’Agence nationale de soutien et d’emploi jeunes (ANSEJ) dans la vente de petites embarcations de pêche et de moteurs, qu’ils ont acquit dans le cadre de ce programme, à des individus appartenant à des bandes d’immigration clandestine, dans la région Est du pays.
Les mêmes sources ont indiqué que les services de la Gendarmerie nationale vont procéder, après l’enquête sur l’ANSEJ, à des investigations sur les dossiers du programme de relance économique, dont a bénéficié la direction de la pêche, d’autant plus que les premières informations indiquent des liens entre les bandes d’immigration clandestine et quelques bénéficiaires de ce programme, afin de se procurer de vieux équipements et moteurs de pêche. Les chefs de ces bandes s’appuient, également, sur des intermédiaires, qui se chargent de contacter les victimes, afin de leur vendre les barques et les moteurs, en leur procurant les cartes de déplacement, et les horaires de sortie, spécialement pour les côtes non surveillées. Selon nos sources, cette situation a poussé les services de la gendarmerie à envoyer un dossier au commandement général de la Gendarmerie nationale à Alger, afin de concrétiser, rapidement, le projet de création d’ « une brigade d’intervention libre » au niveau des ports, à laquelle sera assignée la mission d’intervenir, et de contrôler la côte et les bateaux utilisés pour l’immigration clandestine. | |
|
nakhla
Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 26/04/2007
| Sujet: Re: « Les barques de la mort » étaient financées par l’argent de Jeu 26 Avr - 19:08 | |
| - Moh a écrit:
- Les services de la Gendarmerie nationale de Annaba ont entrepris une enquête
sur des individus qui vendaient « les barques de la mort » aux jeunes qui tentaient de rejoindre l’autre rive de la Méditerranée. Des sources sécuritaires bien informées ont indiqué à El Khabar que l’enquête préliminaire effectuée par les services de la gendarmerie à Annaba, a révélé l’implication d’un groupe de bénéficiaires des projets de l’Agence nationale de soutien et d’emploi jeunes (ANSEJ) dans la vente de petites embarcations de pêche et de moteurs, qu’ils ont acquit dans le cadre de ce programme, à des individus appartenant à des bandes d’immigration clandestine, dans la région Est du pays.
Les mêmes sources ont indiqué que les services de la Gendarmerie nationale vont procéder, après l’enquête sur l’ANSEJ, à des investigations sur les dossiers du programme de relance économique, dont a bénéficié la direction de la pêche, d’autant plus que les premières informations indiquent des liens entre les bandes d’immigration clandestine et quelques bénéficiaires de ce programme, afin de se procurer de vieux équipements et moteurs de pêche. Les chefs de ces bandes s’appuient, également, sur des intermédiaires, qui se chargent de contacter les victimes, afin de leur vendre les barques et les moteurs, en leur procurant les cartes de déplacement, et les horaires de sortie, spécialement pour les côtes non surveillées. Selon nos sources, cette situation a poussé les services de la gendarmerie à envoyer un dossier au commandement général de la Gendarmerie nationale à Alger, afin de concrétiser, rapidement, le projet de création d’ « une brigade d’intervention libre » au niveau des ports, à laquelle sera assignée la mission d’intervenir, et de contrôler la côte et les bateaux utilisés pour l’immigration clandestine. L'information est à prendre avec une grande retenue car la thèse ne tient pas. Si l'on considère le prix d'une embarcation et le montant que payaient les harragas (80 000 dinars), les loueurs de ces embarcations auraient été des fous de voir disparaître à tout jamais leur outil de travail. | |
|