Le pélargonium
En 1897, un Anglais nommé C. H. Stevens, atteint de tuberculose, partit en Afrique du Sud pour se soigner et trouver un climat moins humide que celui des îles anglaises. Là-bas, il rencontra un sorcier portant une peau de léopard qui lui conseilla un traitement à base de plantes.
Pendant 3 mois, Stevens absorba une décoction d’une plante «zoulou» et constata que l’appétit revenait, que les symptômes liés à la maladie diminuaient ; en fait, il était guéri. Ce remède était à base de Pélargonium.
Action anti-adhésion
Le pélargonium empêche les bactéries et les virus de se fixer sur les cellules de la membrane muqueuse. de ce fait, ils ne peuvent pas se développer. De plus, cette plante stimule le système immunitaire et facilite la mobilisation de l’organisme contre les agents pathogènes. De nombreuses études cliniques ont mis en évidence ces propriétés antimicrobiennes, expectorantes et immunostimulantes. La racine de pélargonium, riche en tanins (catéchine, gallocatéchine, acide gallique) et en coumarines, lui confère des activités préventives et curatives sur les affections respiratoires, autant chez l’enfant que chez l’adulte. En 2003, une étude réalisée sur 468 patients atteints de bronchite, a démontré une réduction des symptômes et une diminution significative de la durée de la pathologie. Pour répondre aux fréquentes infections respiratoires qui touchent bon nombre de personnes chaque hiver, Pélargonium est une plante qui a prouvé son efficacité et qui est très bien tolérée.